lundi 28 décembre 2009

Amsterdam Trip Report


Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Entrez dans le vortex


Après avoir croisé Niko dans l'avion et avoir conclu d'un rendez-vous shooting au park,
notre arrivée à Amsterdam a été très claire...
Avec les palissades de travaux devant la gare (15 m de longueur sur 2 m de haut) recouvertes en passant par le talentueux " Separd Fairey " alias Obey ... De quoi assurer la propagande.
Nous nous sommes rendus avec précipitation au Double reggae à quelques pas de la gare, pour goûter la meilleure super silver haze de la ville. Notre agitation ainsi calmée (et ce n’est pas peu dire), le ferry nous mena à travers le fleuve au skate park local.
Dans une sorte de zone industrielle désaffectée au milieu d'un hangar de 250m2) à mi-chemin entre le sol et le plafond le tout pimpé à la sauce Montana sur fond de gros son hip-hop rock... De quoi vous faire planer une bande de skateur en pleine crise de manque.
Niko nous a offert le blunt et s'est permis de renseigner le rail en fifty, alors qu'un gamin sauvage attiré par le flash de l'appareil, sorti de nulle part pour poser un 3-6 aussi frais que le vent de la ville.
Friendly Customer était présent ✌.
De retour au centre, l'intense adrénaline de la soirée ne se fit pas attendre quand le premier smartshop qui nous croisa afficha ouvert. To mush is so trip !
Amsterdam,
Dès le premier jour, nous a propulsé dans une autre dimension !
G.

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

vrac a dam

Ca faisait bien 2 heures que je me baladais avec mes compères du coté du Red Light District, des nuages de fumé à l'herbe folles sortaient des cafés quand on ouvrait la porte, les sex shops cohabitaient jovialement avec des cygnes aux plumes immaculées et des dames dans des vitrines me faisaient des clins d'oeil et des signes de main pour que je les rejoigne, je ne vois pas vraiment pourquoi puisque je tiens à peine debout et la lumière noire me donne mauvais teint. Elles ont sûrement envie de jouer à la maman. Ma thèse fut étayée lorsque je vis un chauve sortir en courant d'une vitrine un téton à la bouche et une dame à ses trousses qui criait " I've said don't bite you fat fuck ! ". Trop de lumières, trop de dames, trop de chauves, les vibrations de cet endroit tournaient allègre lorsque j'entendis :

"Putain mate c'est le 3ème reich ici trouve moi les portes".
"On ne va pas laisser tomber maintenant on est dans le vortex".
"Sérieux faut qu'on y aille, je suis à deux doigts de rentrer en France à vélo".
J'abdique et pose les yeux sur un bout de papier flou, rempli de demi-cercles et d'inscriptions grotesques. Ah oui, ça me revient, c'est le plan d'Amsterdam.

Après une course poursuite avec un hollandais volant qui voulait absolument nous vendre de la crème hydratante, nous arrivions enfin au coffee shop "The Doors " qui devrait plutôt s'appeler le Mad Max Coffee si on s'en tient à la déco.
Nous commandions quelques cafés et reprenions notre calme, pour combien de temps ça je ne sais pas. J'aurais du m'alarmer lorsque le portrait de Jim Morrisson se mit lui aussi à me faire des clins d'oeil, mais l'ambiance était sympa alors j’omis de le signaler.

Tout se passait bien, je discutais Maroc avec un Corse et regardais un sergent major tenter péniblement de faire sortir de la fumée par son rectum béant quand tout à coup, j’eu envie de pisser. Ca n’a l'air de rien comme ça mais dans cet endroit, à ce moment là, à cette époque de l'année, il vaut mieux y réfléchir à deux fois. Tout ça pour vous dire que les portes de la perception existent vraiment, enfin la porte pour le coup. Et cette porte, c'est la porte des toilettes pour dames du coffee the Doors Amsterdam. Je préfère taire ce que j'ai vu là-bas pour mon intégrité mentale, mais ce que je peux vous dire, c'est qu'en y revenant la seule chose réelle que j'ai vu dans ce coffee, c'est une araignée en plastique descendue du plafond sur un client trop endormi pour sursauter, par un tenancier trop survolté pour s'endormir.

D


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Photobucket


Le cycle du cycle

Que représente la ville d’Amsterdam sans ses légendaires vélos qui, pourrait-on croire, sont plus nombreux que la population elle-même : 3 vélos pour un habitant à vu d’œil ?
Des parkings de multiples étages jonchent les abords de la ville, montés de milliers de vélos prêts à être enfourchés pour une escapade extra scolaire hors du commun.
Nous sommes donc allés à la rencontre d’un des nombreux loueurs de vélo de la ville. Et oui, contrairement au principe de gratuité de paire avec celui de l’abondance, nous sommes résignés à payer ! Aucun touriste n’y échappe.
La pluie n’est pas un temps idéal pour faire du vélo, me direz-vous, mais à Amsterdam, il n’y a pas vraiment de temps approprié pour les activités de plein air.
Parcourant les rues les une après les autres sur ma bécane lancée à pleine vitesse, je semble découvrir la ville sous un autre œil, celui de l’habitant multiculturel polyglotte qui, finalement se soucie bien peu du monde qui l’entoure, tant qu’il arrive à bon port.
L’air frais en plein dans la figure, des pistes cyclables à n’en plus finir et une volonté d’aller toujours plus loin, voilà le leit motiv qui nous poussa à environ 7km de notre point de départ. Un moteur sans faim de toute dépendance énergétique, si ce n’est la notre.
Un vélo où il faut pédaler à l’envers pour freiner, de quoi vous faire tourner en bourrique surtout lorsque le trafic est encombré, et c’est peut dire.
Détournant mon attention quelques minutes, me voilà plongé dans un méli mélo d’autres cycles les uns plus fous que les autres, sans direction précise, ramenant le sens de circulation à zéro.
1, 2, puis l’intégralité de mon assistance disparaît comme par enchantement, laissant place à un flou pittoresque.
Mes compagnons seraient-ils perdus ? Ou ce n’est peut-être bien que moi.
Maintenant venu le temps de prendre une décision « à gauche ? À droite ? ». Il n’y a pas véritablement de sens, me dis-je, à moi de savoir ce que je veux réellement, mais surtout de savoir ce que je peux choisir dans cette immensité instable.
« C’est inévitable, je suis perdu ».

A.

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket


Amsterdam Selection

Photobucket

Green eyes love : Mayer Hawtorne

Coffee Shop : TTC

Gilles Deleuze n'est pas mort : Derek

Illusions : Cypress Hill

Stir it up : Bob Marley

The end : The doors


Friendly Yours

A & G & D

jeudi 24 décembre 2009

Merry Drummy Christmas

Photobucket


"La musique résonne sur mon pavillon, puis vient se percuter sur mon tympan ou le marteau fait osciller l'enclume qui transmet le message a l'etrier pour aller se loger dans la trompe d'eustache relier au nerf auditif et mon cerveau dit MAIS OUI TU AIME CAAA!!!!" A.P


Friendly Customer n'a jamais caché sa passion pour les beats décharnés, syncopés, diaboliquement entraînant ou encore cassés. Cependant nous ne nous étions pas encore attarder sur le sujet. Qu'a cela ne tienne, en ces périodes de fêtes, le FC music club vous ouvre les portes vers un plus large univers musicale. Pour ce faire nous vous avons concocter une petite liste évolutive agencée dans un train.


Départ: Drum N Bass Arrivée: Break Beat faisant halte au gare: chill out , jungle, breaks et breakcore mais prenait garde, Derek est dans le train et il n'a pas pris de billet. En éspérant provoquer une agréable réaction auditive.




Hippiehaus: Swallow


Netsky: Everyday


Spectrasoul: Guardian


Parker: Western Soul (Aphrodite Dub Rmx)


Derek: Iconoclaste


Boards Of Canada: Roygbiv


Lee Mortimer, Laidback Luke: Blau! (Nacho Lover Rmx)


Far Too Loud: Bass Association


Feadz: B!%*$ Run That


Friendly Yours

D




mercredi 16 décembre 2009

TSUNAMI

Photobucket

Ah le japon… Pays porté par sa culture millénaire pleine d’empereurs, de samouraïs et de geishas plus envoutantes les unes que les autres. Mais qu’en est-il actuellement ?

Heureusement pour ce grand pays, ils n’en est pas resté a l'ère edo et une véritable nouvelle vague Japonaise a déja émergée...


Des aventures digitales nous auront fait traverser Tokyo de galerie d'arts en labels qui mérite a être connu en passant par Shibuya, Kabukichô ou Harajuku, à la recherche d'Univers musicaux, Photographiques et graphiques…

Au programme Hip-Hop de ninja, Electro sauce aigre douce et Trip Soul Jazz beat en kimono , sur fond de toiles, de photos et d'illustrations en format Bry-D...



Photobucket


Fat jon - Trankilizer

Fat jon - Wet secrets

Nujabes - Feather(ft. Cize Starr)

Teriyaki boys - Heartbreaker

Teriyaki boys - Beer or chiken

Dj Krush - Only the strong survive(ft. Cl Smooth)

Shing02 - 400

Shing02 - Start again(ft.Tokimonsta)

Dj Kentaro - Trust

Dj Kentaro - Free(ft. Spanck rock)

R.I.P Slyme - I.N.G

Soil & Pimp - Go next

ALTZ - Vodka baby

Dj Mitsu the beat & Mark de Clive - Lowe "Rendez-vous"

Fantastic Plastic Machine - September

Fantastic Plastic Machine - Tell me

Susumu Yokota - A Song Produced While Floating Alone on Christmas Day

Susumu Yokota - Amanogawa 1997

Force of nature - Straight head

Photobucket

la N°12 gallery

Petite, discrète mais créativement efficace... Voilà les quelques adjectifs qui collent parfaitement a cette jeune galerie d'art située en plein coeur de la ville, offrant un lieu totalement friendly à ses artistes tokyoites...

De la peinture et de la photographie, a la fringue designée en passant par le "skate art", la N°12 galerie complète sans concession le milieu artistique de tokyo !

Photobucket


Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket


Tadaomi shibuya

Artiste issue de la street culture, Tadaomi a devellopé un style propre et mesuré, avec ses dessins entièrement basés sur les lignes (base du dessin ndlr^^), cet artiste a su mixer le style réaliste avec celui du grafitti, d'une manière riche et détaillée.

En attendant de nouvelles toiles nous l'avons choisi pour l'illustration de cet arcticle.

Photobucket

Photobucket

Photobucket


Ce crew d'artiste actif depuis déja quelques années est sur tout les fronts..

Music, Logo, illustration, ce collectif touche a tout s'est déja illustré sur plusieurs projets intéressant dont la campagne de pub pour la marque de japanese beer "Hifana".

Créatifs refletant fiérement leurs origines, les 5jigen onts un bel avenir devant eux.

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Nobuyoshi Araki

Photographe fanatique de Shibari (Bondage japonais), il n'en est pas a ces débuts et perfectionne son art depuis des années...

Ses photos reflète son expérience, captivant d'une maniere déconcertante l'esprit de femmes dans de bien noueuses situations !

Avec son style impeccable (et l'attrait de Krantz pour le bondage(NDLM(note de lui meme))), Sa place été toute faite dans cette article.

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Photobucket

Friendly Yours.

G

&

PH.